La phase avant est toujours aussi dynamique pour aboutir à un arrière suffisamment raboté pour créer cet effet coupé. La calandre ressemble à ce que l'on peut trouver chez certains concurrents. Nommée « Crystal Face », elle se compose de petits éléments en plastique abritant plus d'une centaine de LED. L'effet est plus qu'original : il permet d'offrir à ce modèle un côté premium que ses cousins n'ont pas forcément.
Ce SUV coupé affiche également une ligne plus sportive que l'Enyaq classique car il arbore le logo RS, le premier du genre : son moteur électrique revendique en effet la puissance de 300 ch. En fait, ils sont deux moteurs au total : un pour les roues avant et le second pour les roues arrière. Bien entendu, l'Enyaq coupé sera proposé dans des versions moins puissantes : 180, 204 et 265 ch. En prenant la livrée 204 ch, on obtient une autonomie de 535 km ce qui reste assez élevé sur cette catégorie de véhicule électrique.
À bord, on comprend bien que le constructeur souhaite se positionner assez haut en gamme. Il suffit d'observer le traitement de la planche de bord avec des matériaux de tout premier ordre, mais aussi des sièges qui n'ont rien à envier à ce que l'on trouve sur une Audi. Outre le toit vitré qui offre un vrai plus à tous les occupants, ceux situés aux places arrière ne souffrent pas d'une baisse de volume. D'ailleurs le coffre en témoigne avec une contenance de 570 litres.
Alors que les commandes devraient démarrer en concession pour le mois de juin, son prix d'accès sera situé à 41 220 euros. Mais d'ici là, nous vous dirons tout lors d'un essai.