Si, de manière globale, on retrouve la ligne assez anguleuse de la 6e génération de Polo lancée il y a 4 ans, la face avant se voit profondément remaniée. Cela passe par l'adoption d'un bandeau à LED venant joindre les blocs optiques amincis au logo Volkswagen de la calandre. Cette dernière est réduite également pour laisser place à un capot un peu plus bombé. Enfin les feux affichent désormais une signature visuelle à deux barrettes. Des détails certes, mais c'est suffisamment efficace. À l'arrière on oublie les phares assez imposants pour adopter un dessin plus fin afin d'apporter une signature visuelle proche de la récente Golf 8. À bord, c'est un peu la même recette : on reprend l'esprit de la Golf avec un nouveau volant dont l'ergonomie est totalement revue, mais aussi le combiné d'instruments qui est remplacé par une dalle LCD et peut être modifié (comme c'est le cas, désormais, pour la plupart des voitures du groupe Volkswagen). L'écran central évolue également histoire de se mettre au goût du jour (un problème qui touche désormais toutes les voitures puisqu'au bout de 3 ou 4 ans, les systèmes d'info-divertissement et les écrans évoluent plus vite que la voiture elle-même). Justement côté technologie embarquée, cette nouvelle Polo est dotée de nombreux éléments que l'on trouve sur des voitures de catégories supérieures comme l'aide au stationnement, le régulateur de vitesse actif (gérant l'accélération, le freinage et le maintien actif dans la voie de circulation) et les phares adaptatifs (hérité du Matrix LED de chez Audi).
Sous le capot, on retrouvera, au lancement, fin mai, strictement les mêmes moteurs que dans la Polo précédente : des blocs 3 cylindres essence ainsi qu'un moteur 1,0 l TGi de 90 ch (essence et Gaz Naturel). Tarif annoncé pour l'Allemagne, à partir de 16 000 euros.